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CONSPIRATION d' ASSASSINAT
et d' EMPILEMENT
de CRIMES de FORFAITURES

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RÉCIT / DÉVELOPPEMENT

d ) -- Le MAQUILLAGE des PREUVES   MATÉRIELLES ,
    l' OCCULTATION des
ÉLÉMENTS  DIVERS ,
   et l' ÉTOUFFEMENT de l' AFFAIRE .

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RAPPEL du SOMMAIRE

---  PAGE  INDEX  ( Haut de page )     Accès direct

---  INTRODUCTION / SCHÉMA de l' AFFAIRE     Accès direct

---  DESCRIPTION  RÉSUMÉE  de  l' AFFAIRE     Accès direct

---  RÉCIT / DÉVELOPPEMENT     Accès direct :  
          a  )  -  CONTEXTE du DÉBUT de l' AFFAIRE
          
b  )  -  JE me DÉPLACE  RAPIDEMENT à BORDEAUX
          c  )  -  DESCRIPTION  DÉTAILLÉE du DRAME
         
 
d  ) 
 -  Le MAQUILLAGE des PREUVES  MATÉRIELLES ,
                                                  l' OCCULTATION des ÉLÉMENTS  DIVERS ,
                                                                                   et l' ÉTOUFFEMENT de l' AFFAIRE .

---  Commentaires des pièces jointes , en bleu-vert .

---  TENTATIVES de l' ESTABLISHMENT     Accès direct
     
 pour faire taire les dénonciations de cette CABALE d' assassinat et
      de ses maquillages

---  LISTE des DÉPUTÉS ou MINISTRES     Accès direct
      qui ont fait ou qui font silence sur cette affaire

---  LISTE des ORGANES de PRESSE CONTACTÉS     Accès direct

---  La BIDON COUR EUROPÉENNE des BIDONS DROITS
                                                                             de l' HOMME  
Accès direct
---  CONCLUSIONS     Accès direct

---  PSEUDO- RÉPUBLIQUE et DÉMOCRATIE de THÉÂTRE   Accès direct

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RÉCIT / DÉVELOPPEMENT

d ) -- Le MAQUILLAGE des PREUVES   MATÉRIELLES ,
                                           l' OCCULTATION des
ÉLÉMENTS  DIVERS ,
                                                                               et l' ÉTOUFFEMENT de l'AFFAIRE .

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Les paragraphes de ce sous-chapitre :

1) -- Les témoins oculaires de la défenestration
2) -- Les premiers "secours"
3) -- Le quotidien Sud-Ouest
4) -- Argent occulte versé de suite dans ma famille
5) -- Les Autorités étouffent immédiatement les faits pourtant flagrants
6) --
Les conclusions d' autopsie
7) -- Chronique de la criminalité médicale ordinaire
8) --
Demande de l' expertise du crane au Parquet Général


Le fantôme de Karine ,
ne perd pas de vue le troupeau de rats criminels de cette affaire !!! ...

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1) -- Les témoins oculaires de la défenestration .

Centre ville de Bordeaux , vendredi matin 28 octobre 1994 .
À 6.h.03 , un automobiliste qui vient de quitter son travail de nuit à peu de distance de là , se trouve stoppé au feu rouge du carrefour du cours d' Alsace-et-Lorraine avec la rue du Pas-St-Georges .
Ce qui fait qu' à ce moment le pare-chocs arrière de sa voiture se trouve presque en face de
la porte d' entrée de l' immeuble du N° 74 , ce numéro se trouvant à quelques mètres seulement de l'.angle de ce carrefour .   ( Plan et photos ci-dessous, au bas de ce bref paragraphe.) 
À 6.h.05 l' automobiliste démarre au feu vert , et entend à cet instant un bruit mat de chute sur le bitume derrière son véhicule .
Surpris de ce bruit insolite , il freine et s' arrête au milieu du
carrefour ( la circulation est encore faible à cette heure là ) , regarde derrière lui , aperçoit une forme humaine allongée sur la chaussée au milieu de la voie de circulation de droite ( cette rue est en sens unique et comporte 3 voies ) , recule , se repositionne à son point de démarrage , descend de son véhicule , et constate la présence d' un corps de femme ,
tombée
de ...  il ne sait où ( le haut des immeubles est encore dans l' obscurité ) , allongée sur le dos , les bras en croix , ses longs cheveux étalés en couronne autour de sa tête , visiblement gravement blessée , du sang un peu partout , une jambe tordue dans une position désarticulée .

Cet automobiliste aperçoit en même temps qu' il descend de son véhicule , un autobus des transports urbains de Bordeaux , qui démarre du carrefour du cours d'.Alsace-et-Lorraine avec la rue Ste-Catherine , à 150 mètres en amont , où il était lui aussi stoppé ...  en principe seulement par le feu rouge ... 
Tous les feux virant en même temps , dans les quelques secondes qui suivent , à partir du carrefour intermédiaire , vient s' intercaler un véhicule utilitaire de type fourgon , avec à son bord un couple de personnes .   Encore quelques secondes plus tard arrive l' autobus qui stoppe derrière le fourgon..   Le conducteur du bus s' arrête en raison de ce qu' il estime être un accident , du moins c'.est ce qu'
.on peut supposer de sa démarche à cet instant ... ...
Le conducteur de bus , sitôt après avoir constaté la présence d' une blessée sur la chaussée , alerte les secours , au moyen du téléphone de bord de son véhicule , via le dépôt de son entreprise .
Le conducteur du fourgon utilitaire ayant pu voir effectuer l' appel des secours , aurait parait-il choisi pour cette raison de poursuivre son chemin , en fait peu désireux pour des raisons personnelles de s'.attarder sur le lieu d' un accident dans l' attente des autorités .

Le conducteur du bus est donc arrivé sur le lieu de la défenestration , et a stoppé derrière le fourgon., environ 1 minute  voire 2 minutes  après la chute de Karine sur la chaussée .
Selon la déclaration qu' il aurait faite dès les premiers instants aux policiers , puis qu' il me fera par la suite , sa version des faits deviendra dans sa bouche :
     " La jeune femme est tombée entre les véhicules en circulation ,  juste derrière la voiture de l'.automobiliste qui me précédait et l' avant de mon bus , à tel point que  j'.ai difficilement pu freiner et m'.arrêter à temps pour ne pas lui rouler dessus ".
     " Pour cette raison l' avant de mon bus s' est trouvé naturellement immobilisé exactement devant la porte de cet immeuble , et donc personne n' aurait pu en sortir sans que  je l'.aperçoive ".

( Cet immeuble ne comporte en principe qu' une seule issue.)
( La fenêtre d' où Karine est tombée est à l' aplomb de la porte d' entrée de l' immeuble.)

L' automobiliste ne s' est rendu compte de cette chute d' un corps derrière son véhicule , que par le bruit mat de l'.impact sur le sol , et donc seulement parce qu' à ce moment là  il se trouvait à l'.arrêt .
Il est aisé de comprendre que si Karine était tombée entre 2 véhicules en circulation -
se déplaçant donc environ à 60 km/h, un peu moins ou un peu plus, la limite à cette époque était 60 - le premier passé ne se serait probablement aperçu de rien , ou pour le moins à supposer qu' il ait entendu quelque chose , n'.aurait pas réalisé ce qui venait d'.arriver , n' aurait pas eu la réaction de s' arrêter immédiatement , et donc de s'.arrêter tout court , aurait poursuivi sa route , et ce témoin ainsi que sa déclaration - contradictoire à celle du conducteur du bus - n'.auraient pas existé .

Le décalage de cette déclaration du conducteur du bus par rapport à la réalité , est stupéfiant sur le fond , mais ce décalage deviendrait carrément vertigineux , s' il se confirmait que c' est bien dès les premières minutes , sur place dans la rue - donc sans que personne n' ait eu le temps de l' influencer après la défenestration de Karine - que ce conducteur de bus a fait une déclaration aussi décalée aux policiers .
Je veux dire par là :
Ce bus et son conducteur se trouvaient-ils à proximité du lieu de cette défenestration purement fortuitement , ou bien se trouvaient-ils à cet endroit et à ce moment , précisément dans le contexte de la cabale de pré-organisation des maquillages de cet assassinat ? ... ... ...
Et cette manoeuvre n' aurait-elle eu pour seul but , que de  " démontrer " d' emblée ,
que personne d'.étranger à l'.immeuble n'.avait pu en sortir après la défenestration de Karine ,
et donc qu'.il n'.y avait probablement pas d'.assassin ? ... ... ...

Plan du centre ville de Bordeaux ,
indiquant la position du bus par rapport au point de la défenestration ,
( Le cours d' Alsace-et-Lorraine,                                                                    et au moment où elle a eu lieu .
descend directement et en sens unique, de la place sur laquelle se trouvent la mairie et la cathédrale.)

Sur ce plan du centre ville de Bordeaux :
-- La flèche bleue supérieure indique la position du TGI , à 750 mètres du lieu du crime
-- La deuxième flèche bleue , indique la position du bus
, au carrefour du cours
      d' Alsace-et-Lorraine et de la rue Ste-Catherine , à l' instant de la défenestration de Karine
-- La flèche bleue inférieure indique , le lieu de l' i
mpact du corps devant la porte de l' immeuble
      du N° 74 , à proximité du carrefour du cours d' Alsace-et-Lorraine avec la rue
      du Pas-St-Georges .
Ces 2 carrefours sont éloignés l' un de l' autre exactement de 150 mètres .

Accessoirement  j' ai tracé une flèche rouge , pour indiquer la position du principal immeuble du
journal ".Sud-Ouest.", 8 rue Cheverus , à peu de distance du lieu du drame , comme  je le dis dans
un paragraphe plus bas , intitulé ".Le quotidien Sud-Ouest.".

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Ci-dessous la photo de l'.immeuble du N°.72 situé à l'.angle de la rue où se trouve donc les feux tricolores, et la photo de l'.immeuble contigu du N°.74, immeuble du drame.

 

Photo N°.1.:
Vue en perspective des immeubles N°.72 et 74.  La flèche rouge la plus haute indique les feux tricolores du coin de la rue, (.ici au rouge.)..  La deuxième flèche indique la porte de l'.immeuble de ce N°.74.   La troisième flèche désigne les rails du tramway, qui n'.étaient pas là en 1994 à l'.époque du drame.   À cette époque, les 3 voies de circulation (.en sens unique.), étaient toutes affectées aux voitures.

Photo N°.2.:
Vue de l'.immeuble du N°.72 qui occupe l'.angle de la rue, au carrefour du cours d'.Alsace-et-Lorraine avec la rue du Pas-St-Georges..  Avec vue également sur cette même photo d'.une partie de l'.immeuble du N°.74, où la flèche rouge située en haut, indique la fenêtre de la défenestration.   On peut se rendre compte que lorsqu'.une voiture se trouve arrêtée au pied des feux tricolores, son pare-chocs arrière est à peu près en face de la porte de l'.immeuble du N°.74.

Photo N°.3.:
Vue de l'.immeuble du N°.74..  La flèche rouge en haut de l'.immeuble, indique également cette même fenêtre de la défenestration, d'.où Karine a été précipitée dans le vide, le vendredi 28 octobre 1994 à 6.h.05 du matin.

Note.:..Cette photo a été tirée a une époque nettement plus ancienne que les 2 autres.   Elle doit dater environ de 1997.

Retour à la liste des paragraphes de ce sous-chapitre

ou

Retour au chapitre   Conclusions--Paragraphe 15

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2) -- Les premiers " secours ".

En résumé donc , au moment de la défenestration , des conducteurs de véhicules qui étaient stoppés à divers feux rouges sur le cours d' Alsace-et-Lorraine et se trouvaient à proximité du lieu du drame , ont vu le corps sur le sol dès la première minute après sa chute , et ont appelé les secours immédiatement .

Dès l' arrivée des secours - les pompiers et les policiers - auprès du corps de Karine , cette intervention apparaît comme étant très étrange .

D' après certaines personnes -
qui à cette heure là étaient bien réveillées car elles se préparaient à partir à leur travail - et habitant des immeubles dominant la rue aux environs du lieu de la défenestration , les pompiers sont arrivés sans faire usage de leurs sirènes ( il y avait 2 véhicules ) .   
Ceci alors que d' après le temps de trajet entre le centre de secours et le lieu d' intervention , une minute pour un kilomètre ( moyenne donc 60 km/h.) , mentionné dans leur rapport , les pompiers n' ont pu s' arrêter à aucun des nombreux feux tricolores du parcours ( comprenant sur un kilomètre une douzaine de carrefours à angles droits ) ;  feux qui à cette heure là , 6.h.17 du matin , étaient déjà tous en fonctionnement alternatif .

Selon les dires de témoins qui ont vécu la scène sur place , donc dans la rue , " Dans les premiers moments après leur arrivée , les pompiers et les policiers se sont penchés sur le corps , puis ils ont attendu la venue d' un médecin , qui est arrivé en civil ".
Il s' agissait en l' occurrence du docteur de Sos-médecin , dont les pompiers mentionnent nommément dans leur rapport la présence sur cette intervention .  

Ci-dessous, extrait de la 2e page du rapport des pompiers.
Page figurant en entier au sous-chapitre intitulé " Description détaillée du drame".
Extrait sur lequel on peut voir inscrit, la présence de Sos-médecin, et la présence du Samu.


Quelques semaines plus tard ,  je réussirai après pas mal de difficultés , à avoir en ligne au téléphone ce médecin .   
Le but principal de ma démarche , était de lui demander ce qu' il pensait des coulures de sang particulièrement flagrantes , issues du sommet du crâne de Karine , et qui avaient ruisselé sur son visage
du haut vers le bas , c' est à dire alors qu' elle se trouvait forcément en position parfaitement verticale , y compris pendant un certain temps après avoir reçu cette blessure *, et alors qu' à contrario elle était tombée dans la rue à plat sur le dos .   ( * Un coup sur la tête même sans gravité est très douloureux ...  Personne ne reste stoïquement et parfaitement debout, après avoir reçu ce type de choc ...  Sauf, s' il est à ce moment maintenu debout par des agresseurs ...  Hors il a fallu un certain temps à ces coulures de sang pour descendre du sommet du crâne jusqu' à la pointe du menton ... )
Position à plat sur le dos
dont Karine ne s' était évidemment pas relevée ,
et dans laquelle les pompiers l'.ont trouvée , point dont ces derniers ne feront pas mystère
Ce point contradictoire de la position du corps et de ces coulures de sang , sera également admis - avec embarras - par chacun des 2 officiers de police de   l' " enquête préliminaire ", lorsque je l'.évoquerai auprès d' eux .

Ce médecin lors de cet entretien n' avait visiblement aucune envie de s' aventurer sur ce sujet problématique ( euphémisme ) des coulures de sang sur le visage , et pour esquiver la question , il m'.a déclaré :
" Qu' il avait été requis pour dresser un constat de décès ( afin que les pompiers puissent emmener le corps à la morgue ) , que les blessures de la victime ne concernaient pas son intervention , mais étaient du ressort des médecins légistes , et que les tâches étant bien compartimentées , il n' avait pas connaissance des conclusions d' autopsie".

Le point saillant qui émerge largement de la langue de bois de cette réponse , est que le docteur de Sos-médecin " a été requis " dans cette intervention ( par une personne dont il ne m'a pas précisé l' identité ou la qualité ) ".pour dresser un constat de décès " !  ... ... ...

Et ce qui revenait à dire ... qu' il n' y avait pas encore de médecin sur le lieu de cette intervention ... donc pas de Samu ! ... ... ...
Le simple fait qu' il ait fallu " requérir " un médecin pour venir dresser un constat de décès de la victime , ceci après l' intervention des pompiers et des policiers , démontre à lui seul qu' à cet instant il n'.y avait aucun médecin sur place !!!
Et que de plus , l' arrivée du Samu n' était même pas envisagée par les pompiers et les policiers , comme si ceux-ci savaient d' avance que le Samu n' arriverait pas ... ... ... ... ...

Ce point concernant l' absence de médecin dans cette intervention , est recoupé parfaitement par les indications de témoins présents à proximité des lieux de la défenestration :  Ils n' ont pas vu de véhicule ni de médecin pouvant ressembler à une intervention du Samu .

Et ce point est recoupé exactement aussi , par le fait que lorsque  j' ai contacté le service du Samu quelques semaines après la mort de Karine , pour lui demander de me faire connaître les détails de son action , le dit service administratif du Samu , m' a répondu ( stupéfaction ) après une courte recherche   ".qu'il n' avait rien sur cette intervention " ! ... ... ...
Donc le Samu n' est pas intervenu dans cette opération de secours , puisque renseignements pris , ce service dresse un rapport - comme il est normal - pour chacune de ses interventions .

Toutes les indications que  je possède , convergent pour infirmer la présence du Samu .
C' est à dire qu' il n' y avait pas de Samu sur place !!!
Mais néanmoins cette présence est mentionnée catégoriquement dans le rapport des pompiers , c'.est à dire à 2 endroits sur une même page .
Pourquoi ? ...  
Cette mention correspondant donc dans ce rapport à une probable falsification délibérée , en dit long à elle seule sur les circonstances de cette intervention et sur ses objectifs  ... ... ...

Et puis surtout , alors que des témoins appellent les secours au sujet d' une  jeune femme tombée d'.une fenêtre et d' apparence gravement blessée , pourquoi pompiers et policiers arrivent-ils sur place sans aucun médecin ??? ...
Alors que dans ce cas de figure comprenant la présence de blessés ,
le
recours au Samu est automatiquement couplé avec l' intervention des pompiers  ...

Ce n' est pas tout .   
Il y a aussi le fait que la durée de l' intervention totale des pompiers a été extrêmement brève , c' est à dire à peine plus d' une demi-heure du départ de leurs 2 véhicules du centre de secours ,  jusqu'.au retour de ces 2 véhicules à ce même centre .
Durée totale , dans laquelle est inclus le transport et le dépôt du corps à l' Institut médico-légal par les dits pompiers .   Ce qui revient à estimer qu' il n' a dû s' écouler qu' une dizaine de minutes environ , entre l'.arrivée des pompiers auprès du corps , puis le chargement de celui-ci dans le fourgon et le départ vers la morgue .

Ci-dessous, extrait de la première page du rapport des pompiers.
Page figurant en entier au sous-chapitre intitulé, "Description détaillée du drame".

Extrait sur lequel on peut voir inscrit, la durée totale de l'.intervention des pompiers, c'.est à dire 36 minutes.


Pour cette raison il y a lieu de se demander comment un docteur a pu " être requis ", donc forcément - ou du moins en principe - après la défenestration , puis arriver sur place aussi vite , et dresser un constat de décès , le tout dans ce bref  laps de temps d' une dizaine de minutes environ. ... ... ...
Surtout sachant , que tout autant le domicile de ce médecin que les locaux de son organisme , étaient assez éloignés des lieux du drame. ... ... ...

À partir de ces constatations , une question vient à l' idée :
La personne qui  " a requis " ce médecin , l' a-t-elle appelé APRÈS la défenestration de Karine ? ...

Ou bien  ...  AVANT cette défenestration ? ... ? ... ? ...
Et qui a été réellement la personne auteur de cet appel à ce médecin ? ...

Question subsidiaire :
Était-ce un hasard purement fortuit que ce médecin ait été domicilié à proximité quasi immédiate de l'.École où Karine était étudiante  ? ...

Précisions supplémentaires :
Médecin domicilié donc , comme  je le dis plus haut , à une distance assez éloignée du lieu de la défenestration , soit en l'occurrence à 5,.2 kms  ... ...
Et qui plus est , d'.un parcours urbain , qui même par l'.itinéraire le plus direct comportait
une quarantaine de carrefours ou intersections de rues  ... ... ...
Et cela dans un créneau horaire , entre
6.h.20 et 6.h.30 du matin , où les feux tricolores étaient déjà tous en fonctionnement alternatif  ... ... ...  ...
Combien de temps faut-il en réalité pour effectuer un tel parcours en voiture ?  
Vingt minutes au moins , mais probablement plus  ... ... ...  ... ...
Et encore faudrait-il supposer que ce médecin ait été habillé et prêt à démarrer au quart de tour lorsqu'.il à reçu cet appel  ... ... ...  ... ... ...
Ceci pour une intervention qui n' avait aucun caractère d' urgence , puisqu'.il s'.agissait seulement de dresser un certificat de décès  ... ... ...  ... ... ...  ...
Ou bien faut-il penser que ce médecin était déjà posté en réalité à l'.AVANCE , dans les environs du pied de l'.immeuble du drame.,
avec un certificat de décès tout préparé dans la poche., dans l'.attente de l'.achèvement de Karine par défenestration ???  ... ... ...  ... ... ...  ... ...

Autres remarques :
En poussant à peine plus loin les réflexions , on peut se demander dans un tel contexte , si Karine était bien réellement tout à fait morte , lorsqu' elle a été chargée dans le fourgon des pompiers , puis quelques minutes plus tard , engloutie dans un tiroir du frigo de la morgue de Bordeaux ? ...

Il ne s' agit pas là d' une boutade ... ... ...
Car , le but de cette cabale d' assassinat était de " suicider " Karine , pour dissimuler le drame initial..
Le drame initial , c'.est à dire son agression par un groupe d' étudiants-soûlards de la même école qu'.elle , ainsi que la blessure grave à la tête qui en avait découlé .
" Suicider complètement "  Karine , afin bien sur , de préserver l' image
de marque de
la ".grande." École  ... ... ...
( "Grande" École qui meublait systématiquement, et à hauteur de 20% du temps d' étude,.ses trop maigres programmes, par des nuits de beuveries hebdomadaires,.organisées invariablement en milieux de semaines ... )
Il fallait donc absolument que Karine , ait été tuée sur le coup par cette défenestration  ... ... ...
Il ne fallait bien sur pas qu' elle ait la moindre chance de s' en sortir  ... ... ...
À Bordeaux ... tout devient possible  ... ... ...
E
t d' ailleurs ,
quelques années plus tard ,
ce devait être me semble-t-il en 2005 ,
on avait pu apprendre aux informations télévisées de 20 h. des principales chaînes ,
qu'.un " mort " incarcéré arbitrairement dans le même frigo de cette même morgue de Bordeaux ,
avait eu bien du mal * à obtenir sa levée d' écrou , après avoir longuement tambouriné sur les parois., pour se faire ouvrir la porte de son tiroir mortuaire !!! ... ... ...
(  * ... bien du mal ...   
     Situation insolite en effet, et puis surtout non prévue par les règlements administratifs ...
     Un mort comme on le sait, n' a pas droit à des réductions de peine, ni même à des permissions de sortie ...
     Son ou ses assassins, eux en revanche, oui ...
     Afin bien sur, qu' ils puissent repasser à l' action au plus tôt ... )
 

Autre point qui présente  " quelque intérêt :
Le magistrat de permanence du Parquet , ne s' est pas déplacé sur le lieu de cette défenestration   ...
Ni au moment où le corps était encore sur place , c' est un fait , ni à ma connaissance un peu après l' enlèvement du corps par les pompiers 
... ...

Alors que la procédure habituelle ,
inclut les constatations de visu par un magistrat ,

dans le cas d' une mort violente d' origine indéterminée , sur la voie publique ... ...

( * Voir un peu plus bas à titre d' exemple, un article de presse, qui indique que le magistrat de permanence du Parquet de Bordeaux, s'.est déplacé dans une localité située à une quarantaine de kilomètres de là, pour venir constater lui-même les circonstances d' un accident.d'.Ulm....)
Hors , la défenestration de Karine ,
n' était pas simplement une mort violente suspecte ,
c' était un assassinat manifeste !
Comme cela apparaissait d' emblée à la vue de n' importe qui , même d' un profane !!! ...

Ceci en raison , de sa blessure à la tête et des coulures de sang ,
incompatibles avec la position du corps sur le sol de la rue , après la chute   ... ... ...
Karine avait été blessée gravement à la tête un certain temps avant sa défenestration ,
c' était évident au premier regard ! ...

Pourtant cette défenestration , n' a eu lieu
qu' à 750 mètres du Tribunal de Grande Instance ...
( La position du TGI est annotée , sur le plan du centre ville de Bordeaux figurant au premier paragraphe de ce chapitre.)

Pourquoi aucun magistrat ne s' est-il déplacé sur
le lieu de cet assassinat ? ...

Qui était le magistrat de permanence du Parquet au TGI de Bordeaux , ce vendredi 28 octobre 1994  à 6h00 du matin ?? ... ...

Ce magistrat de permanence , s' est-il abstenu de se déplacer sur les lieux , de sa seule initiative ??? ... ... ...
Ou bien au contraire , a-t-il reçu l' ordre de sa hiérarchie supérieure , de ne pas intervenir ??? ?  ... ... ... 
...
Cette non-intervention du magistrat de permanence , avait-elle été prévue AVANT même l' achèvement de Karine par défenestration ??? ??  ... ... ...

ET , il faut encore considérer parallèlement , que dès le début de mon action en  justice , dûment effectuée par courriers RAR , dans un premier temps auprès du Parquet , 4 semaines seulement après la mort de Karine , et relatant les nombreux éléments matériels que  j' avais constatés dès les premières 48 heures , cette action s' est heurtée à un véritable mur avec l' appareil  judiciaire  ...
Je n' ai pas reçu de réponse valide du Parquet , seulement des lettres bidons répondant à coté du sujet , et dépourvues de valeur juridique , parce que ne comportant pas les éléments d'.authentification de leur provenance légale .
( Absence de cachet ,.absence du nom et de la fonction du signataire , signature totalement illisible et vraisemblablement fantaisiste  parfois constituée d' une vague croix ...)

Le procureur qui était en fonction à cette époque à Bordeaux ,
doit connaître , lui ,
l' .identité de son substitut , de service le matin de cette défenestration ... ...
Et puis aussi ...  pourquoi ce substitut de permanence n' est pas intervenu , alors que c'.était précisément là , l' objet de son service de garde ... ... ...
Et de plus encore ...  alors que le lieu de cette intervention à réaliser , n'.était qu'.à quelques centaines de mètres du TGI ... ... ...
Re ... ... ...  ... ... ...

Le procureur qui était en fonction à Bordeaux entre 1993 et 1998 - et donc à cette époque d' octobre 1994 - était Patrice DAVOST .
Entre 2006 et 2012 , il était procureur général à Toulouse .
Il est parti à la retraite en milieu d' année 2012 .

VINGT-NEUF ans après le début de cette affaire ,
son étouffement se poursuit ,  jusqu' au sommet de l'.appareil d' État ,
ainsi qu' avec l' aide de la Cour des Miracles européenne et de
sa fantomatique illusion " droit-de-l-hommiste " qui lessive plus blanc que blanc  ...

Le président "normal", élu en 2012 , était parfaitement informé de cette affaire , et depuis bien avant son élection ...
Et comme ses prédécesseurs , de toute évidence , il l' a étouffée pendant 5 ans ... , très normalement en somme ...
C' est probablement pourquoi  il avait replacé aussi au gouvernement l'.ancien ministre de la justice LEBRANCHU , qui en 2001 , avait manifestement étouffé cette affaire ...
La plupart des membres du gouvernement installé en 2012 , étaient également informés de cette affaire , et certains depuis de très nombreuses années ...

( * )  Extrait tiré d' un article publié par le quotidien SUD-OUEST ,   lundi 20 août 2012  06h00 ,
indiquant entre autres choses , que le magistrat de permanence du Parquet , s' est déplacé sur les lieux , pour venir constater par lui-même , les circonstances d' un accident ...
Par Jean-Pierre Tamisier :
Ste-Hélène (33) , à une quarantaine de kilomètres de Bordeaux : deux quadragénaires tués dans le crash de leur ULM .
L' ULM s' est écrasé hier peu après son décollage déclenchant un début d'incendie .  
Michel Bosset et sa compagne Séverine ont été tués sur le coup
Autopsie et enquête .
Cet accident a suscité une forte émotion à Saint-Hélène , qui ne se trouve qu' à une poignée de kilomètres de l' incendie qui a ravagé ces derniers jours 650 hectares de forêt à Lacanau .

Le représentant du parquet de Bordeaux de permanence ce week-end s' est déplacé sur les lieux .
Une autopsie a été ordonnée pour aujourd' hui tandis que la brigade de gendarmerie des transports aériens de Mérignac était chargée de l' enquête destinée à comprendre , avec le concours de la brigade territoriale de Castelnau et de la compagnie de gendarmerie de Lesparre , ce qui a pu se passer hier matin .
Il s' agira notamment de déterminer si ce dramatique accident a pu avoir pour origine un incident mécanique ou si les conditions climatiques particulièrement chaudes ont pu engendrer des conséquences sur le fonctionnement de l'ULM .

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Ci-dessous , une copie de mes courriers adressés au Samu de Bordeaux en 2008 .

Dans la première moitié de l' année 2008 ,  j' ai adressé 2 courriers successifs au service administratif du Samu de Bordeaux , pour lui demander à nouveau de me faire parvenir une copie de sa supposée intervention du vendredi matin 28 octobre 1994 dans le centre ville , au moment de la défenestration de ma nièce Karine Décombe .
Ces 2 courriers , un Distingo-Suivi puis un pli  RAR-R3 , sont restés sans réponse .

Démonstration supplémentaire que le Samu ne possède pas de rapport sur cette intervention , comme il me l' avait d' ailleurs dit aussi au téléphone quelques semaines après la mort de ma nièce , et donc qu' il n' est pas intervenu dans cette opération de secours , contrairement à ce qu' indique catégoriquement le sergent des pompiers dans son propre rapport .
Pourquoi le Samu n' est-il pas en mesure de fournir une réponse écrite à la question particulièrement simple de savoir s' il est intervenu ou n' est pas intervenu dans cette opération de secours ? ...
Et pourquoi n' y serait-il pas intervenu comme c' était son rôle ? ...

Des lecteurs de ce site pourront bien sur penser que si le Samu ne s' est ".pas donné la peine de répondre." à mes 2 courriers , c' est simplement parce que ses archives ne remontent pas si loin en arrière .
Cette hypothèse ne tient pas , car le sujet de fond ainsi que les questions soulevées sont suffisamment graves , pour que tout organisme , clair dans sa position en regard de cette affaire , se sente le besoin de préciser sa dite position .
Et ceci d' autant plus que m' écrire par exemple que le Samu ne conserve pas aussi longuement ses archives - si c' était réellement le cas - n' aurait demandé pour seul effort à cet organisme qu' une lettre de 3 lignes .

De plus , le bureau de poste distributeur de Bordeaux , a " perdu " les traces du Distingo-Suivi de mon premier de ces 2 courriers adressés au Samu .
Cela à déjà été très souvent le cas depuis le début de cette affaire , dans divers bureaux de poste distributeurs du pays , avec mes courriers " SUIVIS " et avec mes courriers " RAR-R1", adressés à divers organismes , notables , administrations , élus , etc , la liste est longue  ... ... ...
Au total des dizaines de courriers aux traces disparues ;  courriers auxquels les destinataires n' ont fait bien sur aucune réponse  ... ... ...
Et ces multiples courriers ".perdus.", l' ont été de toute évidence par les bureaux de poste distributeurs , à la demande des destinataires  ... ... ...
Car il est totalement invraisemblable , statistiquement parlant , qu' autant de courriers d' un même usager de la poste
( moi-même ) puissent se perdre fortuitement , et à plus forte raison lorsqu' ils concernent tous invariablement le même sujet de la même affaire criminelle  ... ... ...

Je suis d' ailleurs un " abonné " de longue date du Service national de réclamations de La Poste concernant les courriers égarés ou " égarés " !   Service qui lui , heureusement , fonctionne correctement , qui souvent parvient à solutionner ces problèmes , et duquel  je possède une ".collection " intéressante de courriers  justificatifs .
Seuls mes courriers RAR-R3 , n' ont encore jamais fait l'objet d' occultations de leurs traces  par les bureaux de poste distributeurs .   Ben oui ... , car le montant de garantie
( 458 euros ) de ce type de courrier , suppose un immanquable retour de manivelle du dit Service de réclamations , à l' endroit du bureau de poste concerné  ...
C' est aussi pourquoi maintenant ,  je commence par envoyer un courrier " Suivi " ou " Rar-R1 ", à un destinataire dont  je ne suis pas sur de la clarté par rapport à l' affaire de ma nièce , puis lorsque ce destinataire me fait la grâce de faire occulter ce courrier par le bureau de poste distributeur ,  je sais alors à quoi m' en tenir à son sujet , et il ne me reste plus qu' à lui envoyer un pli  Rar-R3  ...   Ben dis donc ! ...

( Même mine de riches enseignements avec les destinataires de mes courriers électroniques concernant cette affaire, qui refusent de me renvoyer une confirmation de lecture de ces courriers ... ... )

Ci-dessous , le compte-rendu d' enregistrement de mon courrier " Distingo-Suivi " du 07/03/2008 , déposé au bureau de poste de Davézieux-Annonay-Ardèche , et adressé au Samu de Bordeaux .
On peut constater que la case du bureau de départ est normalement renseignée , alors que la case ".Historique." reste vide de toute mention .   Cette case devrait contenir le nom du bureau distributeur , et la date de distribution .   


Ci-dessous la lettre du Service Client du bureau des réclamations ,
m' informant que ( cette fois )
il n' a pas réussi à retrouver les traces disparues de ce courrier .


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3) -- Le quotidien " Sud-Ouest ".

Le samedi 29 octobre 1994 , lendemain du drame , le quotidien régional   " Sud Ouest " a publié dans sa page des faits divers , un article de 4 cm sur 4 cm  titre compris , affirmant catégoriquement et à plusieurs reprises.* , comme on peut le lire dans ce minuscule entrefilet , qu'.une  jeune femme (.sans autre précision ) s' était suicidée le jour précédent , cours d' Alsace-et-Lorraine à Bordeaux .    
( Et j' ajoute accessoirement ,.que cette défenestration a eu lieu à peu de distance du principal immeuble de presse de ce journal , à une heure.où il était déjà en activité .)
( * Cet article malgré son minuscule contenu, affirme pourtant à 4 reprises que la victime s' est suicidée :
" Une désespérée" ... "saute" ..."a mis fin àses jours" ...."en se jetant" ... )

Par la suite ,  j' ai découvert dans les archives de ce même journal , l' article ( ci-dessous ) tel qu' il avait été rédigé au départ , et qui concluait par la phrase suivante , en contradiction avec le reste de son texte :   
" Une enquête et une autopsie ont été ordonnées par le parquet pour déterminer les causes de la mort ".
Ce journal était donc bel et bien informé , qu' au moins officiellement , il y avait des investigations des autorités .
En conséquence , il ne pouvait affirmer de bonne foi , moins de 24 heures après ce drame , que la victime s'.était ".suicidée.", et il n' aurait pu par ailleurs éructer une telle affirmation , s' il avait écrit la vérité dans ce même article , c' est à dire qu' officiellement , les autorités œuvraient pour rechercher les causes de la mort .
C' est de toute évidence la raison pour laquelle la dernière phrase de cet article a été coupée lors de la mise en page , plutôt que de rectifier l' orientation et la teneur du texte .

C' est donc bien intentionnellement , que " Sud Ouest " s'.est efforcé de travestir la vérité !

Puis dans les mois suivants ,  je suis venu rencontrer à son bureau et à 2 reprises le  journaliste auteur de cet article .   Je lui ai décrit pourquoi et comment cette défenestration n' était pas un suicide , et dès notre première rencontre ,  je lui ai remis de nombreux écrits signés de ma main à toutes les pages , réaffirmant et détaillant ce que  je lui avais déclaré .   À chacune de ces rencontres ce  journaliste m'.avait assuré qu' il ferait un article sur le caractère douteux de ce suicide , mais ses assurances sont toutes restées sans suite ...
Preuve s' il en avait été besoin , de la volonté de ce  journal de présenter cette défenestration comme un suicide , en voulant ignorer délibérément tout élément contradictoire ...

De plus , des dissimulations d' éléments et des maquillages matériels de preuves , ont eu lieu dans cette affaire criminelle , avant et après la publication de cet article de " Sud-Ouest ", et l' ont en quelque sorte ".encadré.".   Il semble donc que l' orientation du contenu de son texte ne provienne pas de la seule initiative du  journaliste ou du  journal .

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4) -- Argent occulte versé de suite dans ma famille .

Comme  je l' ai décrit dans un autre sous-chapitre de ce site , ( titré, "Je me déplace rapidement à Bordeaux" )., c'.est dès les premières heures après la mort de Karine , que l' attitude de sa mère apparaissait comme étant très étrange et en net décalage d' avec la situation du moment .   
Elle a en particulier fait de son mieux pour m' empêcher de me rendre à Bordeaux au plus vite , tout en prétendant ne pas vouloir s' y rendre elle-même , selon les consignes que lui avaient parait-il données les autorités de cette ville .

Trois mois après le drame , c' était alors en janvier 1995 , elle m'a déclaré tout de go - et  je ne sais trop pourquoi elle m' a dit ça, même encore aujourd' hui 28 ans après - qu' une " compagnie d' assurance " qu'.elle n'.a pas voulu me nommer , lui avait versé " une indemnité conséquente " en regard de la mort de sa fille , ".comme pour le cas d' une mort accidentelle ", et que " grâce à cela , elle allait faire entreprendre des travaux d' amélioration du caveau de famille " ...

C' est aussi à partir de cette époque , que l' attitude de mon père Marc Décombe , donnait clairement à penser qu' il était également " partie prenante " dans la dite ".opération d'.indemnisation.".

L' action en  justice que  j' avais aussitôt entreprise après l' assassinat manifeste de Karine , l'.exaspérait , l'.inquiétait , le rendait de plus en plus agressif à mon égard , alors qu' il avait pourtant vu., tout comme moi-même et dès les 2 premiers jours , les principaux éléments et preuves de cet assassinat .
Il aurait détruit - si  je ne les lui avais pas enlevé des mains à temps - les vêtements déchirés et ensanglantés de Karine , ainsi que ses chaussures fortement détériorées et aux marques insolites , dont  je conservais le tout soigneusement , mais imprudemment à la maison familiale .

Dans les premiers mois de l' année 1996 , son inquiétude s' apparentait à de l' affolement en regard des quelques points que  j' avais malgré tout marqués en ma faveur dans la procédure  judiciaire .
Tel que  je le voyais à cette époque , il ne faisait aucun doute pour moi , que s' il avait été convoqué et questionné par les services de police ou de justice , il aurait lâché de suite tout ce qu' il savait .
Les autres membres de la famille , également " parties prenantes " dans cette affaire , s' inquiétaient pour leur part de l' affolement de notre père .

Au milieu du mois de mai de cette année 1996 , il est mort d' un arrêt du cœur foudroyant ... ... ...
Je n' ai été prévenu de son décès par personne ... ... ...
J' ai reçu toutefois un télégramme , posté 2.h.1/2 avant l' enterrement , et m' informant à la fois du décès et des obsèques ... ... ...

Il est évident que ce télégramme envoyé au dernier moment par l' une des personnes de la famille , également et manifestement elle-même " partie prenante " dans l' " opération d' indemnisation de la mort de Karine ", visait " à me prévenir " du décès de notre père , tout en faisant en sorte que  je ne reçoive pas cette information avant l' enterrement .

Plus tard , et de suite après la mort de notre père ( 2 semaines environ après ce décès ) , la mère de Karine a décrété vouloir sortir de l' indivision , détenue de fait par elle-même ainsi que par les autres ayants-droit de cette succession dont moi-même , et vouloir racheter ces 3 autres parts , ce qui représentait malgré la relative modestie de cette succession , une somme assez importante à débourser par elle .
Ceci alors qu' au moment de la mort de sa fille , 19 mois plus tôt seulement , F.D. ne possédait que des dettes , liées à l' achat de sa maison d' habitation de Vichy ... ... ...
L' argent ne pouvait donc provenir que des " indemnités versées par l' assurance ", à la suite de la défenestration de Karine , ce dont sa mère ne faisait guère mystère .  ( Comment l' aurait-elle pu d'.ailleurs.?.)
Puis dans les mois suivants , l' annonce de la mère de Karine de vouloir racheter les biens de notre père , s' est affichée en volonté de plus en plus forcenée pour parvenir à ce but .
Toute la question de ces derniers points , est de savoir d' où provenait réellement cet ".argent de l'.assurance.".

Ci-dessous l' une des lettres du notaire , dans laquelle apparaît la confirmation de la volonté de la mère de Karine , à vouloir racheter les biens de notre père .   Volonté que la mère de Karine avait déclarée de suite après la mort de notre père , soit 19 mois seulement après la mort de sa fille .

Le Code civil prévoyant que toute indivision ne peut résister à la volonté de l' un des indivisaires de faire réaliser le partage , et donc de faire liquider les biens , la mère de Karine est finalement arrivée à ses fins de racheter la petite propriété de notre père .
Ce qui fait que par là même , les traces d' utilisation de cet " argent de l'.assurance ", venu lui-même d'.on ne sait où , restent indélébiles ...

En fait au sujet de ces versements d' argent , il n' avait fait aucun doute pour moi dès les tout premiers jours après l' assassinat de Karine , qu' une sorte de rançon avait déjà été versée ou allait être versée rapidement , pour acheter une absence de plainte en  justice de la part de sa famille :
--  Déjà., dès les premières heures après cette mort -
comme je le dis plus haut - l' attitude étonnante
    de la mère de Karine n' avait pas d' explication normale .
--  Par ailleurs , à la fin de l' enterrement de Karine
( à Annonay-07 ) , 5 jours après sa mort , alors
   
que les fossoyeurs étaient en train de refermer le caveau ,  j' ai assisté à peu de distance de là
    dans le cimetière , à un tête à tête insolite , entre la mère de Karine et la colocataire de
    l' appartement du drame de Bordeaux .   Alors qu' intrigué par ce manège , mais sans plus ,  
    je m' approchais machinalement d' elles deux ,  j' ai essuyé la réaction furieuse et véhémente
    de la mère de Karine , me criant en rafales de m' en aller ... ... ...
    Je n' ai bien sur jamais pu savoir quel avait été l' objet de cet entretien ... ... ...
--  D' autre part , quelques semaines après le drame , la mère de Karine a engagé un avocat ,
    prétendument pour développer une action en  justice et déposer une plainte , mais en réalité
    et de toute évidence pour une action des plus obscure , puisque cet avocat n' a en fait  jamais
    mené ni même suivi , aucune action en  justice dans cette affaire , même pas pour tenter de
    manière crédible d'.accéder au dossier de cette mort violente .
  ( Avocat dont la mère de Karine m' a
     d'.ailleurs caché mordicus l'.identité, et.que  je n' ai découverte qu' avec difficultés quelques mois plus tard .)

    
La lettre du Doyen des  juges d' instruction , que  je publie au bas de la page " index" de ce site ,
    mentionne catégoriquement que , " la mère de la victime et son avocat ont refusé de s' associer
    à ma plainte pour homicide volontaire ".
( Ou même simplement de se constituer conjointement
     partie civile .)

    
 J' ai eu aussi à cette époque , quelques échos indirects , traduisant l' embarras quelque peu
    fébrile de cet avocat à la suite de ma plainte en  justice et son refus de s' y associer ,
    probablement parce qu' à partir de ce moment son action apparaîssait comme trouble  .
..
De quelle mission la mère de Karine avait-elle donc réellement chargé cet avocat ? ... ... ...   Était-ce une mission de négociation avec de mystérieux interlocuteurs ? ... ... ...

Accessoirement , après la mort de mon père ,  j' ai pu me procurer auprès du Centre de chèques postaux., des duplicatas de certains de ses relevés de Ccp , qui avaient bien sur disparu .
Sur l' un d' entre eux , on peut voir que mon père a versé le 02 novembre 1994 ,  jour même de l'.enterrement de Karine , sur son compte-chèque et semble-t-il en liquide , une somme de 10.000 francs..
Cette somme bien que modeste , ne semble pas avoir d' explication normale quant à son origine .
D' une part , parce qu' il s' agit d' une somme en chiffre rond , qui ne provient donc pas d' un organisme quelconque .
D' autre part , parce que le réapprovisionnement de son compte-chèque , n' était pour mon père pas urgent , étant donné qu' il allait recevoir ses prestations de retraite quelques jours plus tard .

Mon père , a bien sur versé cette petite somme pour réapprovisionner son compte-chèque.simplement à un niveau utile , après avoir payé 4 jours plus tôt les obsèques de Karine., pour la partie revenant à l'.entreprise de pompes funèbres de Bordeaux., soit environ 21.000 francs..
Mais toute la question est de savoir d'.où provenait l'.argent de ce ".versement.".!.... .......   

 J' estime pour diverses raisons , que tout l' argent occulte versé à ma famille pour cette affaire , ne pouvait provenir que de Bordeaux .

Ci-dessous , 2 feuillets de duplicatas de relevés de compte de mon père , où apparaît un ".versement." de 10 000 francs à la date du 02 novembre 1994 .

Dans le but d' étayer ma plainte pour homicide volontaire avec constitution de partie civile , d'.éléments supplémentaires ,  j' ai bien sûr informé en diverses occasions et par courriers Rar , l'.appareil  judiciaire , de ces versements d' argent occulte suite à l' assassinat de Karine .
Ainsi que , des circonstances pour le moins suspectes de la mort subite de mon père , des circonstances anormales qui ont entouré ses obsèques , des manœuvres troubles qui se sont empilées pendant 5 ans dans le règlement de sa succession .
Ainsi également que , de la mort subite et parfaitement identique , en 2001 de la soeur de mon père., Marie Décombe , des circonstances tout aussi troubles qui ont entouré son décès et ses obsèques....
Je n' ai jamais eu connaissance d' aucune réponse ou réaction de l' appareil  judiciaire à mes diverses communications ...
Toutes ces communications ont pourtant été envoyées par courriers Rar .
J' avais également au cours des péripéties de cette succession , déposé auprès du Parquet de Privas
(.Ardèche.) , et par courrier Rar , une plainte contre un auxiliaire de  justice nommé , pour vol d' une collection de timbres anciens ayant appartenu à mon père .
Vol commis dans l' exercice des fonctions de cet auxilliaire de  justice , au cours de l'.évaluation des maigres biens mobiliers de cette succession
( meubles, objets divers, etc.) .
Cette plainte est bien sur restée " sans suite ".
Et ceci malgré que le dit auxiliaire de  justice ait été contraint par les circonstances , de reconnaître officiellement et par écrit , qu' il avait bien eu en dépôt et pendant un certain temps l' objet en question , sans pour autant pouvoir expliquer ce que celui-ci était devenu ensuite .

Là encore , constatation :  
Les rouages de cette pseudo-république , cessent de
fonctionner normalement , dès lors qu' au départ d'.une affaire criminelle sordide , il y a en cause , les dirigeants d' un organisme lourd  important et rutilant ... ...

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5) -- Les autorités étouffent immédiatement les faits , pourtant flagrants .

Une semaine exactement après la mort de Karine ,  j' ai téléphoné au commissariat de Bordeaux , où  j' ai eu en ligne  l' inspecteur divisionnaire chargé par le Parquet de cette ".enquête préliminaire.".

Je lui ai décrit les nombreux éléments matériels que  j' avais constatés de visu au cours des premières 48 heures -
sans même les chercher - simplement parce qu' ils étaient tombés sous mes yeux .
Et plus particulièrement la blessure sur le sommet du crâne , et les coulures de sang
issues de cette blessure..   Coulures de sang révélatrices., et incompatibles avec la position du corps à plat sur
le dos ayant résultée de l' impact final de la défenestration .

L' inspecteur a balayé d' un revers de grossiers sophismes la plupart des éléments que  je lui indiquais .
Quant à la blessure à la tête ,
il a admis avec embarras *
 la présence de ces coulures de sang que  je lui décrivais pour les avoir VUes .   ( * Tout comme l' autre inspecteur avec lequel il faisait équipe dans cette "enquête", et que  je rencontrerai à.nouveau à Bordeaux, quelques semaines plus tard .)

Cet officier de police au téléphone , qui ne s' attendait semble-t-il pas à ce qu' une personne de la famille de Karine ait vu ces coulures de sang , à monté aussitôt au pied levé une " explication " à s'.endormir debout , selon laquelle la victime n' étant pas encore morte à l' arrivée du Samu , celui-ci avait tenté de la ranimer avec des électrochocs , et que c' est dans cette opération , que les médecins secouristes de cet organisme., avaient redressé le buste de Karine et provoqué sur son visage ces coulures de sang issues de son crâne ,
".coulures de sang donc parfaitement explicables.", selon l'.expression de l'.inspecteur ...   (.Celui-ci admet du même coup implicitement que la victime avait bien une blessure sur le sommet du.crâne .)
Hors il s' est avéré par la suite , comme  je le démontre plus haut dans ce présent sous-chapitre , qu'.en réalité aucun médecin urgentiste -
Samu ou autre - n' est intervenu dans cette opération de ".secours.".

Par ailleurs , le rapport des pompiers que  je publie également dans ce site , indique catégoriquement que ".la victime était décédée à leur arrivée.".
De plus quelques mois après le drame ,  j' ai rencontré le sergent des pompiers qui a dirigé cette intervention et qui a rédigé ce rapport .
Il m' a déclaré ce  jour là , qu' il se souvenait parfaitement de cette intervention , m' a décrit pour preuve et sans hésitation , les détails du physique de la victime et la position du corps ayant résulté de la chute .   Ce sergent m' a confirmé également de vive voix que la victime était déjà décédée à son arrivée ,
et qu'.il était lui-même la personne des secours arrivée la première auprès du corps .

Assez peu de temps après mon entretien téléphonique avec l' inspecteur divisionnaire ,  j' ai adressé au Parquet de Bordeaux , un mois exactement après la mort de Karine , une lettre RAR de 8 pages , constituée essentiellement par la description des nombreux éléments que  j' avais constatés au cours des premières 48 heures .
Dont la blessure sur le sommet du crâne , et les coulures de sang ayant ruisselé sur le visage du haut vers le bas , qui indiquaient clairement que Karine avait été blessée gravement à la tête bien avant la défenestration .
  ( Et donc qu' il s' agissait forcément d' un assassinat par le moyen de cette défenestration .)

Je n' ai reçu à cette lettre ni réponse ni réaction du Parquet de Bordeaux .
Dans les mois suivants ,  j' ai adressé de nouvelles lettres RAR à cette même instance sur le même sujet .
Je n' ai finalement reçu que des courriers répondant à coté du " problème ", et par ailleurs sans valeur juridique , parce que dépourvus du cachet de l' autorité  judiciaire , ainsi que du nom et de la fonction du signataire , avec simplement une signature illisible et d' allure fantaisiste .

Ci-dessous , extraits des 3 premières pages de cette lettre au Parquet de Bordeaux , où sont décrites cette blessure à la tête et ces coulures de sang , l' une et les autres , incompatibles avec la position du corps ayant résulté de l' impact de la défenestration .


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6) -- Les conclusions d' autopsie .

Comme  je le dis dans le paragraphe précédent ,  je n' ai reçu aucune réponse ou réaction à ma lettre - postée un mois après la mort de Karine - du 27 novembre 1994 au Parquet de Bordeaux , décrivant les preuves principales d' un assassinat , ainsi que les nombreux autres éléments matériels que  j'.avais constatés au cours des premières 48 heures .
Seule la mère de Karine a reçu , semble-t-il en guise de réaction , le courrier du TGI de Bordeaux ci-dessous , contenant les conclusions d' autopsie .   Seulement les conclusions et non pas le rapport complet ...    Ce courrier semble vouloir me répondre indirectement :  " Nous n'avons rien constaté pouvant correspondre à vos dires ".

Depuis 28 ans , l' appareil  judiciaire n' a jamais voulu sortir le rapport complet de cette autopsie , concernant ce qui ne serait pourtant officiellement qu' un " suicide ".   ( Ni d' ailleurs aucune pièce du dossier..)
Pourquoi  ? ... ... ...
Rapport dans lequel  j' estime qu' il n' est pas exclu , que figure enfoui au tréfonds de ses pages intérieures , la fameuse blessure à la tête dont  je fais état depuis les tout premiers jours , et qui constitue à elle seule
- sans parler du reste - la preuve irréfutable d' un assassinat ... ... ...

Par ailleurs , cette photocopie simple et ordinaire des conclusions d' autopsie , ne contient comme on peut le voir , aucune certification de conformité .   Comme bien d' autres " documents " issus du TGI de Bordeaux concernant cette affaire , cette photocopie n' a aucune valeur juridique , et n' a en fait pas d'.autre valeur que celle du poids du papier servant de support à son texte , c' est à dire la même valeur exactement que celle du papier d' emballage ... ... ...

Son but était-il essentiellement de déboulonner la partie civile et la dissuader de toute action ? ...

Toutefois le contenu de ces conclusions , par la description des blessures internes figurant dans son  3e) , déclare que Karine est bien tombée à plat sur le dos , comme  j' avais d' ailleurs pu m' en rendre compte au cours des premières 48 heures , où  j' avais eu en mains les vêtements qu' elle portait au moment de la défenestration , et qui étaient trempés de sang , mais uniquement au niveau du dos , alors que le restant de ces vêtements était quasiment exempt de sang .

Ci-dessous les conclusions d' autopsie avec la lettre d' accompagnement ,
adressées par le TGI à la mère de Karine .


Autres points importants :

À supposer que les 2 pages N° 6 et 7 ci-dessus , ( que j' ai rassemblées par commodité sur une seule photocopie.) , reçues du Tgi  par la mère de Karine , et contenant uniquement les conclusions du rapport d'.autopsie., soient parfaitement conformes à l'original ,
le problème particulièrement épineux pour les autorités  judiciaires , serait alors que le texte de ces 2 pages ferait abstraction de la blessure sur le sommet de la tête -
particulièrement visible et particulièrement essentielle par sa nature - que les médecins légistes auraient dû déclarer au premier plan de ces dites conclusions .
( On peut remarquer que les médecins légistes mentionnent en revanche dans leurs conclusions - en 2e - une blessure d'.intérêt secondaire pour l' établissement.de.la vérité , c' est à dire une blessure au pied ! ...)

En 2003 ,  j' avais demandé par courrier Rar au parquet général de Bordeaux , l' expertise - qui n' a en fait  jamais été effectuée - et en ma présence , du crâne de ma nièce , afin de démontrer la réalité de cette blessure sur le sommet de la tête .
Je n' avais reçu comme à l' accoutumé dans cette affaire ,
aucune réponse valide , c' est à dire une lettre balayant d' un revers de main ma demande , ne contenant pas les références de l' affaire , ni de cachet de l'.autorité  judiciaire , ni de nom et de fonction du signataire , mais seulement une signature de type illisible et d' apparence fantaisiste constituée d' une simple croix .

Il s' avère par ailleurs et dans tous les cas de figure , que le texte de ces conclusions d' autopsie , est en contradiction évidente avec la photographie - photo en couleurs et par elle-même d' excellente qualité - du corps , que le  juge d' instruction m' avait mis dans les mains le 27 octobre 1995 ( un an après la mort de Karine ) , alors que  je me trouvais dans son bureau à la suite de sa convocation .

En effet sur la photo que m' a présentée le  juge à ce moment , une grosse coulure de sang - produit du maquillage effectué sur le corps dans la chambre froide de l' IML - était visible .
Cette grosse coulure de sang , avait même été fabriquée précisément pour être très visible sur cette photo .

Cette coulure de sang avait pour but de faire croire , que la victime avait saigné du milieu du visage seulement en position couchée sur le dos - la position du corps sur le sol de la rue - après sa défenestration , et non en position verticale , d' une blessure située au sommet de la tête , comme les coulures de sang d'.origine , relativement abondantes et présentes sur le visage , que  j' avais VUes lors de ma visite du corps , l'.indiquaient clairement .

Le hic également pour les maquilleurs , et ce n'est pas le moindre , est que cette grosse coulure de sang fabriquée de toutes pièces pour les besoins de cette photo , supposerait telle qu' elle a été représentée , obligatoirement l' existence d' une blessure au milieu du visage de Karine .

Or comme on peut le voir dans ces conclusions d' autopsie , si les médecins légistes font abstraction très anormalement de la blessure sur le sommet de la tête qui était pourtant bien réelle et particulièrement évidente , ils ne mentionnent pas non plus de blessure au milieu du visage , simplement dans ce deuxième cas parce que cette blessure n' existait pas .  ( Et  je sais de plus pour l'.avoir VU, que Karine n' avait pas de blessure au milieu.du visage .)

Il s' agit là selon toute probabilité , d' un manque de cohérence ou de synchronisation , entre les personnes de diverses spécialités qui sont intervenues à plusieurs intervalles de temps , pour dissimuler le fait que Karine était en réalité blessée gravement sur le sommet de la tête bien avant sa défenestration .

Il en résulte que cette photographie qui est le produit d' un maquillage ,
cohabite donc dans un même dossier d'.instruction ,
avec ces conclusions d' autopsie , qui , telles qu' elles ont été rédigées ,
sont en contradiction avec la coulure de sang postiche apposée sur le visage de Karine pour les besoins de cette photo truquée .

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7) -- Chronique de la criminalité médicale ordinaire .

Depuis toujours à travers le monde , des médecins banalement détraqués sadiques et criminels , ont procédé à des expériences humaines à de grandes échelles , et avec la couverture de leurs appareils d'.États....
Le médecin-chef   Mengélé , qui exerçait à Auschwitz , n'.était que l'.un de ceux-là....
C' est probablement la raison pour laquelle aucun État ne l'.a sérieusement poursuivi après la 2e guerre mondiale....

Ci-dessous en exemple , le copié-collé d'.un article publié sur internet par de grands organes de presse., et traitant d'.une de ces expériences médicales criminelles à grande échelle :

Les Etats-Unis présentent leurs excuses pour des expériences médicales menées au Guatemala.
Par LeMonde - Vendredi 01 octobre 2010, 21h45.

Il aura fallu attendre près de soixante-dix ans.
Les Etats-Unis ont présenté, vendredi 1er octobre 2010, des excuses publiques pour une expérience menée dans les années 1940 au Guatemala par des médecins fédéraux qui ont délibérément inoculé la syphilis et la blennorragie à des détenus, des femmes et des malades mentaux, dans le but de tester l'efficacité de la pénicilline, dont on commençait à peine à se servir.
Les chercheurs qui ont mené cette étude avaient choisi comme cobayes des personnes vulnérables, y compris des malades mentaux, et ne les ont informées ni de l'objet de leur recherche ni de ce qui allait leur arriver.
Dans un premier temps, les chercheurs ont inoculé la syphilis ou la blennorragie à des prostituées, les laissant ensuite avoir des rapports sexuels avec des soldats ou des détenus.
Dans une deuxième phase, "voyant que peu d'hommes étaient infectés, l'approche de la recherche a changé et a consisté à inoculer directement des soldats, des prisonniers et des malades mentaux", selon des documents décrivant l'étude.
Des tests ont également été menés dans des asiles d'aliénés et des casernes.
"L'étude d'inoculation de cette maladie sexuellement transmissible menée de 1946 à 1948 au Guatemala était manifestement contraire à l'éthique", déclarent Hillary Clinton, secrétaire d'Etat américaine, et Kathleen Sebelius, secrétaire à la santé.
"Même si ces événements se sont produits il y a plus de soixante-quatre ans, nous sommes révoltées que des recherches aussi répréhensibles aient pu être menées au nom de la santé publique.
Nous regrettons profondément ce qui s'est passé et nous présentons des excuses à tous ceux qui ont été affectés par des pratiques aussi odieuses", ajoutent-elles.
Crime contre l'humanité.
L'expérience a été menée par le Dr. John Cutler, des services fédéraux de santé publique (PHS), dans le cadre d'un programme financé par les PHS, l'Institut national de la santé, le Bureau panaméricain des questions sanitaires et le gouvernement guatémaltèque.
Son existence a été dévoilée cette année par Susan Reverby, qui enseigne au Wellesley College, dans le Massachusetts.
Entre sept cents et quinze cents personnes, hommes et femmes, auraient été exposés à la maladie avant de recevoir de la pénicilline. "L'étude s'est poursuivie jusqu'en 1948 et les archives suggèrent qu'en dépit des intentions affichées, il est probable que tous n'ont pas été guéris", souligne-t-elle dans un communiqué.
Ses conclusions seront publiées en janvier dans le Journal of Policy History.

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8) -- Demande de l' expertise du crâne au Parquet Général .
                                                                                               ( Ci-dessous , copie du courrier RAR )
En début d'année 2003 ,
j' avais demandé au Parquet Général de Bordeaux , par lettre recommandée avec AR , de faire procéder à l' expertise du crâne de ma nièce Karine .  
Et avec ma présence rapprochée et attentive , tout au long du déroulement de cette expertise ... 
Cette contre-expertise ( mais en fait il n' y a jamais eu d' expertise ) est susceptible de prouver , ce que  je clame depuis les tout premiers jours après l' assassinat de Karine , c' est à dire qu'elle portait sur le sommet du crâne , une blessure grave , antérieure de plusieurs heures à sa défenestration .

Et que c' est cette blessure qui avait été le mobile de l' achèvement de Karine par défenestration , c'.est à dire de son assassinat .   
Et que cette blessure , parfaitement flagrante , et incompatible avec la position du corps à l' issue de l'.impact de la défenestration , constituait également la preuve irréfutable de cet assassinat .
Au lendemain de la mort de Karine ,
les médecins légistes qui ont réalisé une autopsie bidon visant délibérément à occulter un assassinat , n'.ont pas effectué d' expertise du crâne , et se sont abstenus de mentionner dans leur rapport cette blessure particulièrement flagrante que Karine avait sur le sommet de la tête .
Cette expertise matériellement très facile à réaliser même encore aujourd' hui plus de 28 ans après , permettrait de démontrer cette réalité des faits .
Mais la " justice" refuse obstinément depuis le 28 octobre 1994 ,
que la vérité sorte sur cet assassinat , tout simplement parce qu' il a été commandité par l'.oligarchie., en l'.occurrence celle de Bordeaux , et que les principaux rouages de l'.État au niveau des autorités
de cette ville s' y sont impliqués délibérément .


Ci-dessous , " réponse " du Parquet Général de Bordeaux .  


Cette réponse n' a aucune valeur juridique ...

Cette lettre du parquet général , n' a pour seule valeur que celle du poids du papier servant de support à son texte , c' est à dire la même valeur exactement que celle du papier d' emballage , car elle ne comporte aucun élément permettant d' identifier qu' elle est bien de provenance authentique et légale :
-- Cette lettre ne contient aucun cachet de l'Autorité judiciaire
-- La signature est illisible , et se résume à une simple croix ; il s'.agit probablement d' une
-- Le nom du signataire n' est pas indiqué          \ signature fantaisiste n' apartenant à personne
-- La fonction du signataire telle qu' elle est mentionnée ne correspond à aucune fonction identifiable .   Cette fonction telle qu' elle est indiquée par la mention " P / Le Procureur Général ", (.Pour le Procureur Général ) , ne veut strictement rien dire .   Elle n' a pour seul but que d' abuser le profane lambda que je suis censé être , et de lui faire admettre que cette lettre émane du procureur général .

-- Pour faire bonne mesure , ni dans la rubrique " Objet " ni dans la rubrique " Références ", n'.apparaîssent les numéros de Parquet et d' Instruction ( 94 / 46861 et 95 / 076 ) , permettant d' identifier formellement l'.affaire dont parle ce courrier .

-- Sur le fond du texte , cette lettre dit en résumé , que l' Instruction ouverte à la suite de ma plainte à été cloturée peu de temps aprés :
Le Parquet Général , MENT ;  aucun Acte judiciaire de cette nature n' a jamais été rendu ! ...
Le parquet général n' a sur ce papier , aucune peine à mentir , puisque celui-ci n' a pas la moindre valeur d'.aucune sorte , du fait qu' il ne contient aucun élément permettant d' attester de sa
provenance légale ...
C' est de l' intox pure ! ...

Et le fond de ce texte dit aussi , que la justice refuse toute investigation ...
          Alors que l' expertise du crane , que je réclame , est de nature à prouver :
-- Que ma nièce Karine portait bien , sur le sommet de la tête une blessure grave , antérieure à la

-- Qu' elle a donc forcément été jetée de sa fenêtre par une tierce personne ,         \ 
défenestration
           et a donc bien été victime d' un meurtre avec préméditation
-- Que cet assassinat , a été à la fois accompagné et immédiatement suivi , de maquillages
           matériels de preuves ;  maquillages commis par les diverses Autorités de Bordeaux
           liguées entre elles
-- Que les crimes de forfaitures de ces maquillages ont été pré-organisés AVANT même la
           défenestration

Avec un autre regard , on peut dire aussi que cette lettre du parquet général , est en fait inexitante , et que ma lettre RAR ci-dessus datée du 21 janvier 2003 , est restée sans réponse ...

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